






Si Florence Pugh dénonce le sexisme à Hollywood, d’autres personnes préfèrent dénoncer les dents de Camélia Jordana… Que voulez-vous, chacun ses combats ! Suivie par Marie-Claire lors de sa préparation au défilé Coperni pour la Fashion Week parisienne, l’artiste en promotion pour le film Reine Mère, partage son ressenti sur la marque… Et se fait au passage attraper sa veste pour ses dents métalliques.
Eh oui ! Les grillz ont fait leur grand retour depuis l’été 2024. Pour les moins initiés, les grillz se sont des prothèses dentaires, souvent métalliques ou dorées, que l’on a (re)découvert avec les artistes hip-hop et rap US dans les années 80. Mais si l’on creuse un peu, cette tendance remonte à l’antiquité, avec des bijoux dentaires retrouvés chez les Egyptiens ! En France, on voit de plus en plus de célébrités, artistes, influenceurs succomber à la trend, comme Vitaa et (vous l’aurez compris), plus récemment, Camelia Jordana.
Un accessoire qui est loin de faire l’unanimité. Sur la publication Instagram de Marie-Claire, les Followers s’en donnent à coeur joie : “pourquoi s’enlaidir, c’est dommage”, “c’est immonde cette mode de se mettre du métal sur les dents”, “elle a mangé robocop ?”, “moche et tellement peu classe”, “on peut se le dire, franchement affreux”, “l’horreur sur ses dents”. Etc. Etc. Un (super) assortiment fleuri de retours non sollicités et irrespectueux.
Heureusement pour l’artiste (et l’humanité), on relève aussi des commentaires plus sensés : “Les commentaires sont d'un niveau !! C'est désolant de ne rien avoir à faire d'autre que de balancer du poison comme ça. Bravo à elle pour sa carrière, ses messages de paix, son intelligence.” Ouf ! On commençait à perdre espoir… Comme le disait un grand philosophe, “chacun sa route, chacun son chemin”. Si le look de Camélia Jordana ne vous plait, très bien. Mais est-ce vraiment utile de l'écrire noir sur blanc ? Spoiler : non. Et il en va de même pour les autres personnalités, sans cesse scrutées et critiquées. C’est le cas de Louane, qui affole les internautes avec son nouveau look.
On ne le dira jamais assez, ce n’est pas parce que les commentaires sont faits à l’écrit et par des personnes cachées derrière un ordinateur qu’ils ne sont pas punissables : les injures publiques, à titre d’exemple, sont punies par la loi et peuvent monter jusqu’à 12 000 euros d'amende. Ça devrait en refroidir quelques uns !