"Canon", "Je ne l'ai même pas reconnue" : Camelia Jordana méconnaissable, elle fait sensation avec son nouveau look

C'était une soirée pour allier le beau et le bon. Le Sidaction, l'association phare de lutte contre le sida, a organisé son annuel Dîner de la mode le 25 janvier. Pour cette 22e édition, organisée en partenariat avec la Fédération de la Haute Couture et de la Mode, l'évènement a de nouveau réuni de nombreuses personnalités du monde de la mode, du cinéma et des médias, toutes mobilisées en faveur de la lutte contre le VIH/sida. Parmi elles, Camelia Jordana. 

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L'actrice et chanteuse a signé une apparition remarquée lors de son arrivée au photocall du Dîner de la mode. Moulée dans une longue robe noir asymétrique, sa longue chevelure bouclée tombant sur ses épaules, elle a fait sensation. Pour l'occasion, elle était accompagnée du footballeur et écrivain Ouissem Belgacem. 

Sur les réseaux sociaux, les internautes sont ébahis. "De plus en plus belle", "Sublime", "Absolument superbe", les compliments fusent et rivalisent de superlatifs. Certains affirment même ne pas l'avoir reconnue, d'autres la comparent à Salma Hayek ou Alicia Keys. 

Camelia Jordana vient de révéler deux nouvelles chansons, dont "Win Rak" qui signifie "Où es-tu ?" en arabe. Elle apparaît dans le clip aux côtés du rappeur Fianso. Deux titres qui annoncent l'arrivée imminente de son cinquième album solo, actuellement en préparation. 

Autour de Jean Paul Gaultier, ambassadeur de Sidaction, étaient présents aussi présents Damso, Hunter Schafer, Jim Jarmusch, Eddy de Pretto, Julie Gayet, Aliocha Schneider, Kelly Rutherford, Laura Smet, ou encore Amanda Lear. Le dîner a été ponctué d'une performance musicale de Lucky Love, reprenant a capella Because the night de Patti Smith, et d’une performance chorégraphique imaginée par Blanca Li.

Cette année, le dîner de la mode a permis de récolter 705 000€ en faveur de la lutte contre le VIH/Sida. Une somme destinée à financer la recherche, encourager le dépistage et lutter contre les discriminations qui pèsent sur les personnes vivant avec le VIH.

Selon les derniers chiffres ONUSIDA (2024), 39,9 millions de personnes vivent avec le VIH et une personne sur quatre n’a toujours pas accès aux traitements dont un enfant sur deux. Chaque semaine, dans le monde, 4 000 adolescentes et jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans sont infectées par le VIH.