La période des fêtes est-elle particulièrement mal vécue par les célibataires ? C'est en substance ce qu'a demandé le site de rencontre Elite Rencontre à 300 de ses membres. Alors que Noël et Nouvel An constituent deux points d'orgue importants de l'année qui vient de s'écouler, il n'est pas rare que les cœurs à prendre se sentent seuls ou en marge à ce moment-là, surtout lorsqu'il s'agit d'être confrontés au regard inquisiteur de la famille.
Selon les célibataires interrogés, se retrouver en solo, sans compagnon à ses côtés à la table du réveillon, est le moment le plus agaçant des fêtes (73 %). Puis vient ensuite l’inévitable question des parents et grands-parents (« Et toi, c’est pour quand ? »), qui hérisse les poils de 15 % d’entre eux. Enfin, pour 12 % des interrogés, se retrouver spectateur de l'échange de cadeaux romantiques entre les couples de la famille se révèle être une épreuve irritante.
Mais loin de se terrer sous le gui en position foetale en attendant que ce mauvais moment passe, les célibataires de Noël voient pas mal de points positifs à se retrouver en solo lors des festivités de fin d'année. Ainsi, 50% des personnes interrogées sont finalement soulagées de ne pas avoir à subir les gaffes de la famille face à un nouvel amour. Autre point de réconfort : ne pas avoir à se soucier si notre nouvelle conquête plaît ou non à nos proches. 30 % des célibataires sont plutôt contents de ne pas avoir à subir le traditionnel examen de passage lors de cette période-clé de l'année. Et puisque on n'est jamais si bien servi que par soi-même, les personnes en solo sont ravies de pouvoir s'offrir un très beau cadeau en lieu et place de celui destiné à son/sa partenaire potentiel(le).
D’ailleurs, lorsqu’on les questionne afin de savoir à partir de combien de temps de relation il serait acceptable pour eux de pouvoir inviter son compagnon ou sa compagne lors du dîner de Noël en famille, ils répondent à 46 % « entre 6 mois et 1 an ». 18 % des sondés attendront d'abord d'avoir franchi le cap symbolique des un an tandis que 14 % d'impatients se lanceront au bout de trois mois de love story.