Il y a quelques jours le Sunday Times révélait que J.K Rowling avait publié, sous le pseudonyme de Robert Galbraith, un roman policier L’appel du coucou.
L’auteure d’Harry Potter très en colère a trouvé son coupable. Il s'agit du cabinet d’avocat Russels de la romancière qui a avoué être coupable de la fuite. La firme a déclaré qu'elle « s’excusait sans réserves » auprès de Rowling.
Un des partenaires du cabinet, Chris Gossage a révélé à son épouse et à la meilleure amie de celle-ci, Judith Callegari, que derrière Robert Galbraith se cachait J.K Rowling.
Judith Callegari a par la suite créé un faux compte Twitter pour relayer l’information au Sunday Times, et vous connaissez la suite…
En attendant, l’auteure se dit très en colère : « Dire que je suis déçue est un euphémisme […] Et je suis très fâchée que ma confiance ait été trahie. Seul un petit nombre de personnes connaissaient mon pseudonyme, et ça n’a pas été plaisant de se demander pendant des jours comment une femme, dont je n’avais jamais entendu parler avant dimanche, a pu découvrir quelque chose que nombre de mes amis les plus proches ne le savaient même pas. »
Depuis cet incident, la maison d’édition Little Brown and Company a dû rééditer 140 000 exemplaires. Depuis sa sortie, le polar n’avait été vendu qu’à 1500 exemplaires.
En France, L’appel du coucou devait sortir en janvier 2014, mais la maison d’éditions Grasset, qui a eu vent de la fuite, a décidé de le sortir à la mi-octobre.
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