« Oise Hebdo » serait accoutumé aux « Unes » morbides et dramatiques, faisant une de la morbidité la « religion » du journaliste de l’Oise.
Le rédacteur en chef écrit dans un édito : « Ding, ding. La récré est finie. Les unes d'Oise Hebdo ne seront plus affichées sur le site ».
Il ironise sur ses « confrères » qui ont joué les « vierges effarouchées » devant ses unes « trash ».
""Oise Hebdo" restera sur le papier dans son département. Cela évitera aux internautes et aux journalistes parisiens de se rendre ridicules à force de mélanger actualité locale et 'world news'. C'est que l'Oise, ce n'est pas la France, ni le monde. Par le biais d'internet, et par les reprises amusées des uns et des autres, l'actualité de la communauté des gens de l'Oise a accédé à une notoriété universelle qui n'est pas dans l'objet du journal, ni dans ses ambitions" précise Vincent Gerard.
Puis il insiste sur les dangers de la presse web dont les brèves « ne meurent jamais ». En même temps, pour animer un peu la vie des Oisiens ou Isariens, il faut prendre des risques !
VOIR AUSSI
Twitter : Gaffe de Besson « Je me couche. Trop épuisé. Avec toi ? »
Réseaux sociaux : 80% des grandes entreprises sur Twitter
Du 20 heures à Twitter : Les réseaux sociaux bousculent l'info
Médias et réseaux sociaux : « l'ère des codiffuseurs d'info »