« Jusqu'à présent, toutes les premières dames qui furent trompées ont accepté la situation. Elles n'ont jamais rien dit… (...) Ce n'est pas normal que les femmes se taisent », explique William Massonneau, 50 ans, à Vanity Fair Espagne. Il poursuit, visiblement excédé: « Ce qu’a fait François Hollande va au-delà de la trahison. C’est difficile à gérer. C’est quelque chose de brutal […] Moi, je ne me suis jamais comporté de la sorte et j’espère ne jamais faire cela », conclut l’ingénieur en informatique.
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Visiblement choqué par l’état dans lequel il a trouvé sa soeur lorsque celle-ci a été internée à l’hôpital, il raconte: « Je me suis rendu compte qu’elle pouvait à peine dire quelques mots ». Et d’expliquer avoir trouvé Valérie dans un état léthargique, bourrée de calmants. L’ex-première dame pensait « avoir dormi quelques heures » alors que cela faisait pratiquement deux jours. Selon l’intéressé, l’internement à l’hôpital aurait été fait « à la demande de l’Elysée ».
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De son côté, Valérie Trierweiler a, depuis la publication de l’article, rompu sa « cure de silence », pour se fendre d’un tweet dans lequel elle dénonce uniquement l’authenticité de deux SMS cités dans le même article par Vanity Fair. Ces deux messages décrivent une tension entre les deux personnes poussée à son paroxysme. Elle y refuse formellement de signer un communiqué commun avec François Hollande:
Après l'article romancé dans @lemondefr d'hier, désormais les SMS totalement inventés dans @VanityFair Espagne. #Sanslimite
— Valerie Trierweiler (@valtrier) February 21, 2014