Ce sera bientôt possible grâce à un adhésif qui sera collé sur le portable de la victime ou sur la montre de l’automobiliste, ou encore sur le casque du motard. Mais il faudra attendre un peu que ce procédé prenne de l’ampleur dans toute la France car il sera testé dans deux départements pour débuter.
Présenté sous forme d’autocollant assez discret avec un code barre qui renfermera toutes les données du patient, il sera facile d’accéder aux renseignements. Appelé Code d’Urgence il sera en vigueur dès lundi 16 janvier dans la Loire Atlantique et la Sarthe, ainsi les secours pourront en mesurer l’efficacité.
Toutes ces données seront accessibles aux services d’urgences et hospitaliers qui scanneront le code barre pour connaitre les antécédents du malade et ainsi pourront procéder aux premiers soins. Le serveur de tout ceci sera sécurisé pour empêcher les indiscrétions et agréé par le ministère de la santé, protégé par la CNIL.
Les services du Samu et les ambulances seront équipés de ce procédé pour la lecture des données qui devront être régulièrement actualisées et validées par le médecin traitant. C’est pour plus de sécurité et de rapidité pour administrer les soins des accidentés ou des malades que ce système a été mis au point par Franck Di Cosola et l’ingénieur Yannick Chaigneau.
Crédit : AFP
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