

"Etre une femme à Hollywood, c'est entendre plein de conneries sur son physique", déplore cette grande actrice britannique


"Etre une femme à Hollywood, c'est entendre plein de conneries sur son physique", déplore cette grande actrice britannique

La grande Florence Pugh a décidé de balancer ses quatre vérités sur Hollywood, pas forcément plus fréquentable comme environnement plus de 5 ans après la révolution #MeToo. Une prise de parole nécessaire.

Au TIMES, Florence Pugh dénonce : "c'est épuisant d'être une femme à Hollywood, car la seule chose dont les gens veulent parler, c'est de conneries inutiles sur leur apparence"

Au TIMES toujours, Florence Pugh poursuit : "Je ne suis pas méchante – j’espère que les gens pensent que je suis gentille. Mais les femmes doivent respecter certaines limites, sinon elles sont qualifiées de divas, exigeantes, problématiques, et je ne veux pas correspondre aux stéréotypes créés par les autres… Mais on m’a toujours encouragée à avoir une voix !"

En 2022, Florence Pugh s'est rendue au défilé Valentino vêtue d'une robe rose fuchsia de la maison de couture italienne. Mais pas n'importe quelle robe : une "naked dress", autrement dit une tenue dévoilant sous-vêtements, ou parties du corps. En l'occurrence, dans le cas présent, dévoilant en transparences sa poitrine.

Comme une revendication du "Free Nipple", cette "libération des poitrines" à travers l'abandon des soutien-gorges, assumé par des superstars comme la chanteuse hyperpop Charli XCX. Oui mais voilà, Florence Pugh avait scandalisé... les misogynes. Remarques abondantes sur ses seins et son physique, slut shaming, jugements sur sa sexualité supposée...

Elle avait taclé cet accueil, l'espace d'une publication Instagram likée plus de deux millions de fois : "Ce n'est pas la première fois et ce ne sera certainement pas la dernière qu'une femme se fera dire ce qui ne va pas dans son corps par une foule d'inconnus"

"Vous avez été si nombreux à vouloir me faire savoir de manière agressive à quel point vous étiez déçus par mes 'petits seins', ou à quel point je devrais être gênée d'avoir une 'poitrine plate'... Je vis dans mon corps depuis longtemps. J'ai pleinement conscience de la taille de mes seins et je n'en ai pas peur", avait poursuivi Florence Pugh, révélation de Midsommar.

























