« Il est pratiquement impossible de trouver des traits réels du point G », voilà ce qu’affirme le co-auteur de cette étude au DailyMail. L’étude la plus importante jamais réalisée a porté sur 1804 jumelles (vraies et fausses) âgées de 22 à 83 ans. Or 55 % des vraies jumelles et 56% des fausses jumelles disent avoir un point G. Mais pourquoi les fausses jumelles disent l’avoir trouvé et pas leur sœur ? Conclusion : le point G n’est qu’un mythe et non une caractéristique physiologique. « L’étude la plus stupide de l’année » selon la bloggeuse Agnès Giard du journal Libération. Quoi qu’il en soit la polémique est lancée.
Le point G aurait été découvert par le professeur Ernst Grafenberg qui lui a donné ce nom dans les années 1950. Mais cette découverte n’a jamais été vérifiée. Le point G désigne une zone érogène située sur la face antérieure du vagin pouvant mener à un plaisir intense. 20 à 30% des femmes affirment avoir trouvé ce point mystérieux selon la sexologue Beverly Whipple. Et vous ? Répondez à notre sondage ci-dessous !
Anaïs Anouilh