C'était l'une des surprises du mercato de la rentrée : après six années passées au sein du groupe France Télévisions, Alessandra quittait la maison-mère de son émission "Un soir à la tour Eiffel" pour passer chez TF1.
Échaudée par les mauvaises audiences réalisées l'an dernier par son talk "haut-de-gamme" où elle recevait ses invités au premier étage de la dame de fer, Alessandra a pour la saison 2015-2016 accepter l'offre de la concurrence.
Prochainement aux manettes d'une émission en prime time qui proposera de "nouveaux formats de divertissement et d'accueil", Alessandra Sublet a accordé une longue interview à Paris Match fin août, dans laquelle elle revient sur ce surprenant changement de cap.
Elle l'admet, "l'acharnement" dont a fait l'objet "Un soir à la tour Eiffel" "a été si fort que cela l'a déstabilisée". "J'ai douté de moi, de ma légitimité, raconte Alessandra Sublet à Paris Match. Puis je me suis blindée. J'ai décidé de ne plus écouter le qu'en-dira-t-on. Je ne me pose plus de questions. Mon seul critère de choix aujourd'hui, c'est l'envie. J'ai signé avec la plus importante chaîne d'Europe pour développer les programmes de ma société, Max Motion, et surtout parce que les possibilités pour un animateur y sont immenses et variées. Des jeux aux 'primes' !"
Et quand le magazine lui demande si elle s'imagine un jour travailler avec Clément Miserez, son mari et producteur de cinéma, sa réponse est sans équivoque : "Pourquoi pas ? Produire des films est un métier compliqué mais, quand ça marche, c'est vraiment gratifiant [...] Je suis fière de lui. Mais, pour l'instant, j'aimerais rester à TF1 le plus longtemps possible."