C'est une nouvelle affaire retentissante qui semble se dessiner à Hollywood. Cette fois, les protagonistes ne sont pas Johnny Depp et Amber Heard, mais un autre couple iconique passé par la case divorce : Brad Pitt et Angelina Jolie. Ils se sont vu·es, se sont reconnu·es en 2005 sur le plateau de Mr et Mrs Smith, et trois enfants plus tard, ont décidé de se dire au revoir en 2016. Mais les choses n'en sont pas restées là.
Vendredi 3 juin, l'acteur accusait son ex-femme d'avoir "cherché à faire du mal" en mettant en péril une entreprise qu'il a "soigneusement construite", un domaine viticole dans lequel il avait des parts (Angelina Jolie les aurait vendues à un oligarque russe, Iouri Shefler). Des faits supposés que réfute sans détour la principale intéressée.
Les avocats de Brad Pitt affirme ainsi auprès de l'AFP que Iouri Shefler, magnat russe possédant la marque de spiritueux qui a racheté les parts de l'actrice, aurait des "associations et des intentions nocives". D'après eux, il "entretient des relations personnelles et professionnelles avec des individus faisant partie du cercle intime de Vladimir Poutine".
De son côté, celle qui racontait les disputes avec son ex-mari lors de la promotion du film Marvel Les Eternels, expliquant que ses "enfants [l'avaient] vue forte... et brisée", comme le personnage du long-métrage, nie en bloc. Un proche d'Angelina Jolie a même assuré à People que tout ce qui lui est reproché est faux. "La plainte de M. Pitt contre Mme Jolie est le prolongement d'un récit entièrement faux, et la vérité sur la situation n'a pas encore été rendue publique", lit-on dans les colonnes du média américain.
D'ailleurs, confie encore la source, l'ex-épouse et ses enfants n'ont jamais pu retourner dans leur domaine du Château Miraval, et ce malgré les "multiples propositions à son ex-mari", ce qui l'a amenée à "prendre la décision difficile de vendre sa part de l'affaire", "de façon correcte et légale".
Alors, y aura-t-il un étalage de vie privée en place publique du côté des people ?