Endémol a définitivement tiré un trait sur « Miss Nationale » et son ex-directrice Geneviève de Fontenay. Interviewée ce matin sur "Le Grand direct des médias" de Jean-Marc Morandini sur Europe 1, Mme de Fontenay s’exprime, non sans tristesse : « Cela a été très brutal, un peu comme le premier jugement l'année dernière. Mais il faut attendre que la justice statue sur le fond en janvier. »
Le tribunal arbitral a en effet interdit à la dame au chapeau de mener à bien son élection du 4 décembre. Mais elle garde espoir : « Je vais continuer à me battre bien sûr! Tous ceux qui me soutiennent, les délégués, les miss, personne ne veut abandonner non plus. Tout le monde va se mobiliser. »
Geneviève de Fontenay se sent mise au ban de manière injuste : « Je n'ai pas le droit de parler! Tout le monde a le droit, sauf moi: les délégués, les miss... C'est ça la liberté d'expression ? J'en veux à des gens qui ont les moyens, et la puissance. J'aurai 80 ans l'année prochaine, l'avenir est derrière moi. Je trouverai toujours une solution ».
L’élection prévue du 4 décembre est bien entendu annulée : "J'espère que ce n'est que partie remise", confie-t-elle, avant d'ajouter: "On trouvera une autre date, on se débrouillera. Peut-être en début d'année prochaine. Cela nous permettra de souhaiter la bonne année !" Son fils pour sa part, estime que ce coup va la « tuer » mais il continue à la soutenir avec ferveur.
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