J’avais quinze ans quand Robert Downey Junior est apparu sur l’écran de ma télévision. Nous étions au tout début des années 2000 et à l’époque je voulais être avocate, comme Ally McBeal. Surtout je voulais Larry Paul, son petit ami. Terriblement craquant, incroyablement sexy, Robert Downey Junior campait dans ce rôle l’homme parfait pour une adolescente. J’attendais le mariage de mes deux personnages préférés avec impatience, mais voilà… Robert avait des soucis, des soucis de drogue. Viré de la série, l’acteur a alors entamé une longue traversée du désert qui lui valut de voir son nom devenir un syndrome. Le « Downey syndrome » désigne des personnes que l’abus d’alccol amènent à avoir des comportements idiots. Sympa.
Il aura fallu attendre mes vingt ans pour que Robert réapparaisse dans ma vie. Au début discrètement avec Kiss Kiss Bang Bang ou encore Good Night and Good Luck. Et puis Iron Man est arrivé. Ce rôle de playboy, milliardaire et super-héros fut un délice. J’avais retrouvé mon Larry Paul, Tony Stark ! Robert Downey Junior est talentueux et Hollywood s’en rendait enfin compte, ainsi on pourra le voir incarner Sherlock Holmes l’année suivante. Aujourd’hui j’ai 26 ans et le troisième opus d’Iron Man vient de sortir au cinéma. Inutile de vous dire que je vais courir le voir, tout comme le troisième volet de Sherlock Holmes qui devrait sortir prochainement.
Vous devez vous dire, qu’a t-il de spécial ce Robert ? Pour commencer, il est craquant. Ce n’est pas le beau gosse, la beauté froide, non c’est un homme, un vrai, avec du charme. Avec des fossettes, des rides au coin des yeux et un regard qui vous dis « graouuuu ».
Continuons avec l’étendue de ses talents, en plus d’être un acteur brillant, Robert sait chanter. En 2004, il a même sorti un album, The Futurist. Et souvenez-vous dans Ally McBeal, Robert avait poussé la chansonette avec Sting !
Et enfin Robert, après des années d’errances, est devenu un bon père de famille. Marié depuis 2005 à Susan Nicole Levin, il est papa du petit Exton Elias Downey depuis le début de l’année 2012. Oui, faisons-nous une raison, Robert a une petite vie rangée maintenant. Mais cela ne doit pas nous empêcher d’aller fantasmer au cinéma !
Larry, attend-moi, j’arrive !