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
Le pro du bottin mondain est invité ce mercredi 9 avril par Frédéric Lopez dans « La parenthèse inattendue » aux côtés de l’actrice Sylvie Testud et de Chico, fondateur des Gipsy Kings. Si cette semaine, Sylvie Testud a décidé de se confier sur sa coiffure traumatisante des César 2001, Stéphane Bern est quant à lui revenu avec une certaine émotion sur son enfance, qu’on imagine sage, et qui était loin de l’être.
« On a eu une éducation un peu prussienne », commence par expliquer le spécialiste des têtes couronnées qui a été habitué dès son plus jeune âge « à ne parle pas à table avant qu’on lui adresse la parole » et à « ne pas répondre à ses parents ». On apprend aussi que le roi de la courtoisie était un petit insolent très désobéissant qui adorait jouer avec les nerfs de ses parents : « Je n’avais même pas besoin de parler, je faisais une petit moue ironique et on avait envie de me gifler. »
Car chez les Bern, ça ne rigole pas, tous les jours. Si on est un « bon petit garçon », on a le droit se se lover dans les bras de sa mère, sinon c’est niet. Ce que Stéphane Bern appelle « l’affection sous condition ». À la maison, tout se monnaye, « on note la conduite » des enfants et l’argent de poche est annexé sur les notes de conduite. « Moi je devais de l’argent à mes parents », conclut le présentateur en éclatant de rire.