“Trop retouchée”, “Horrible”, “Marilyn du pauvre”, Sabrina Carpenter méconnaissable en Une de Vogue s’attire les foudres des internautes

L’année 2025 serait-elle placée sous le signe de Sabrina Carpenter ? Après avoir remporté deux Grammy Awards, celle qui s’apprête à entamer la partie européenne de sa tournée Short n’ Sweet est en couverture du magazine américain Vogue. Et si la chanteuse apparaît éblouissante dans ce photoshoot aux inspirations de Madonna et Marilyn Monroe, beaucoup ont souligné qu’elle avait l’air extrêmement retouchée.

“Je l’ai vu au moins 4 fois avant de me rendre compte que c’était Sabrina”, “Elle ne se ressemble pas”, “Son visage est trop retouché”, “Trop de Photoshop”, “Horrible”, “Je ne l’ai pas reconnue, j’ai cru que c’était Amber Heard”, “Meuf, tu ne ressembles pas à ça”, s’exclament les internautes dans les commentaires sous sa publication Instagram. 

D’autres déplorent le manque d’originalité de faire poser Sabrina Carpenter dans une version moderne de Madonna, qui elle-même s’inspirait d’actrices des années 50, comme Marilyn Monroe : “OMG, une autre Marilyn du pauvre”, “Révolutionnaire : un cosplay de Madonna en Marilyn”, “Elle est loin d’avoir leur talent”.

Ce photoshoot s'inscrit dans l’esthétique que l’interprète d’”Espresso” a mise en place depuis la sortie de son dernier album. Les tenues et looks de sa tournée - ou de sa récente prestation aux Grammy Awards - ainsi que la mise en scène s’inspirent énormément du rétro des années 50-60. Sabrina Carpenter aime réinventer la figure de la pin-up ingénue maladroite, mêlant tenues sexy et humour.

Mais attention, il ne s’agit pas là d’un retour en arrière ou d’une volonté de retourner à une époque où les femmes avaient moins de droits, non. A travers cet imaginaire de pin-up des temps modernes, Sabrina Carpenter s’est construite une image glamour et sexy certes, mais qui s’adresse avant tout à un public féminin. On vous expliquait d’ailleurs il y a plusieurs mois pourquoi la lingerie tenait une place de choix dans l’univers de la chanteuse.

Car oui, sur scène, la chanteuse de “Juno” se trémousse en body dentelle et en porte-jarretelles, le tout en fredonnant des paroles sexuellement explicites. Sabrina Carpenter assume pleinement sa sexualité, un message qu'elle veut résolument véhiculer auprès de son public.