Alors que D8 fêtait ses deux ans la semaine dernière, la chaîne avait profité de cet événement pour diffuser le premier épisode d’ « À prendre ou à laisser », le divertissement animé par Arthur, entre janvier 2004 et juin 2010. Et à l’instar du « Maillon Faible », c’est Julien Courbet qui a repris les commandes du jeu des boîtes.
Au figaro.fr, il a expliqué comment il comptait s’approprier ce jeu très connu des téléspectateurs. « Avec "Le Maillon faible", vous vous appuyez sur une mécanique très précise, à respecter au cordeau. Avec "À prendre ou à laisser", l’animateur est un vrai chef d’orchestre qui bat la mesure, impulse le rythme de l’émission, entre silence, pic de stress, détente en discutant avec le joueur ou en plaisantant avec les autres candidats ».
Cet entretien a également été l’occasion, pour l’animateur qui se sent parfois à l’étroit dans sa fonction, de parler des quelques changements apportés au jeu. « Il y a trois nouvelles boîtes. Si l'une des trois premières ouvertes est une boîte "jackpot", son gain vous est acquis. La "25e boîte" surgit lorsque le jeu est fini. Le joueur a alors acquis son gain et on lui propose cette boîte comprenant trois possibilités : ce qu'il y trouve lui fait tout perdre, lui confirme son gain ou lui permet de le doubler », détaille l’ex-animateur de « Sans Aucun Doute ». Et de poursuivre : « Enfin nous avons créé le "come-back". Le joueur accepte l'offre du banquier, le jeu est fini pour lui. On continue pour voir ce qu'il restait dans les dernières boîtes et c'est le moment que choisit le banquier pour proposer au candidat de revenir dans le jeu ». À noter qu’ « À prendre ou à laisser » est diffusé du lundi au vendredi à partir de 17h00 sur D8.