C’est le Journal de l’Association médicale canadienne qui révèle cette information. Afin d’éviter que des patientes ne choisissent d’avorter parce qu’elles savent qu’elles attendent une fille, les médecins pourraient ne plus révéler le sexe du bébé avant la 30e semaine de grossesse. Il serait alors trop tard pour décider d’interrompre la grossesse.
Cette « sélection » à la naissance est fréquente dans certaines communautés comme celles d’origine indienne, ou encore chinoise, coréenne, philippine… Un médecin explique que « de nombreux couples qui ont deux filles et pas de fils se débarrassent sélectivement de foetus féminins jusqu'à ce qu'ils soient sûrs que leur troisième enfant est un garçon. »
Ce n’est pas une nouvelle loi qui est ici réclamée, mais un consensus entre les médecins au Canada. Les premières réactions à cette publication ont été mitigées et on peut le comprendre.
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