A proximité de la frontière franco-belge, 80% des français se retrouvent pour faire la fête dans des boîtes de nuits géantes : musique techno, alcool mais surtout drogues faciles d’accès, la frontière nord de l’Hexagone devient le repère de la défonce.
Dans les parkings, un cachet d’ecstasy se vend pour environ 3 euros. Un prix très bas car le trajet du producteur est très court. A deux heures de Lille, c’est dans les campagnes hollandaises que les trafiquants produisent leur marchandise : des fermes se transforment en véritable laboratoires clandestins où sont fabriquées les drogues favorites des fêtards.
Entre 2009 et 2010, 42 nouvelles substances ont été identifiées par les services de douanes, et les saisies de ces produits ont bondi de 4000%. Un trafic de plus en plus difficile à éradiquer pour la police, tant les dealers sont armés et préparés aux course poursuites et autres attaques de la police.
Enquête exclusive, ce soir à 22h45
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