Des regrets. C'est ce que semble éprouver Eve Angeli aujourd'hui. L'ancienne vedette de télé-réalité (La Ferme Célébrités, La vraie vie d'Ève Angeli) a très tôt rappelé sa véritable passion, la musique : en vingt ans, elle a sorti sept albums. Mais cependant, certaines choses de son passé ne sont pas encore passées.
Comme son recours à la chirurgie esthétique. Effectivement, Eve Angeli s'est par le passé fait refaire la poitrine. Une opération qu'elle jugeait bénéfique à l'époque. Mais elle l'évoque avec moins d'enthousiasme désormais. En interview, elle le déplore, comme le relate le site Public.fr : "On te charcute ! Si tu veux que ça soit naturel, c'est derrière le muscle, donc t'as de la convalescence derrière, t'as mal pendant longtemps...".
De quoi sensibiliser bien des esprits.
"Si on m'avait dit la douleur que ça serait, je ne l'aurais pas fait. On a comme une déchirure musculaire et c'est une torture, on reste avec un bandeau pendant une semaine ou deux. On est obligé de se laver avec, on dort avec, on est compressé. C'est une horreur", a-t-elle encore détaillé avec émoi. Un récit intime qui fustige en filigrane les ravages de la chirurgie. Un discours tenu par bien des personnalités ces dernières années.
D'autant plus que de telles pratiques naissent bien souvent de complexes et d'injonctions. "J'avais un sein plus petit que l'autre. C'était pas horrible non plus. Donc c'était plus réparateur. C'était un complexe", relate-t-elle aujourd'hui. Mais prévenir des conséquences de telles opérations n'est pas sa seule préoccupation.
Effectivement, sur ses réseaux sociaux, Eve Angeli défend un autre enjeu : la cause animale. Soutien de l'association Défense de l'animal, elle s'exprimait récemment sur Facebook à ce sujet : "Nous n'oublions pas nos animaux abandonnés sur l'Hexagone mais étant donné le contexte d'extrême urgence en Ukraine, nous nous mobilisons pour envoyer notre aide au delà de nos frontières jusqu'aux animaux Ukrainiens qui, même si on en parle peu au 20h, se meurent eux aussi faute de soins et victimes d'abandons massifs sans précédent".