
Charlie's Angels rencontre Jennifer Lopez ?
A 55 ans, J-Lo a de nouveau enflammé la Toile et les tabloïds en apparaissant, triomphale, au Grand Prix de Formule 1 STC d'Arabie Saoudite. En compagnie de Lewis Hamilton, la superstar latina a enrichi sa vaste garde robe d'une nouvelle tenue : une combinaison de cuir à la Trinity (dans Matrix) à ce détail près... Qu'elle est entièrement rose, façon Barbie.
Clin d'oeil au mouvement Barbie-core, tendance stylée ravivant l'éclat du rose bonbon dans la mode (surtout depuis le mégasuccès de la comédie féministe de Greta Gerwig) et look qui n'est pas sans rappeler ceux des Drôles de Dames version Cameron Diaz/Drew Barrymore/Lucy Liu, tant il foisonne en glamour. Beaucoup de nostalgie dans ce look qui tutoie le kitsch et l'hyper féminité assumée.

Au grand dam de certains cependant...
Sur les réseaux sociaux, les haters sont de sortie, comme à l'accoutumée.
Les abondants lecteurs de TMZ notamment, b-a-ba des médias people outre atlantique, y allant de leur ire acerbe : "Elle veut toujours monopoliser l'attention", "Elle ne pourrait pas se faire discrète ?", "Elle essaie beaucoup trop d'avoir l'air jeune", "Qui a ramené sa tante au Grand Prix ?", "Désolé mais c'est une vieille dame".

Une bile déplorable qui ne va pas inquiéter J-Lo pour autant...
Car à 55 ans, la chanteuse n'a jamais autant assumé son physique.

Et sa confiance en soi, redoublée à l'aube de la soixantaine, quand bien même cela semble mettre mal à l'aise les misogynes ordinaires. Mieux encore, elle se dit "plus sexy que jamais" sur son compte Instagram, où abondent selfies et déclarations d'amour... A elle-même.
"Voici mon bilan de gratitude : ces moments qui deviennent les meilleurs souvenirs, ces personnes qui comblent mon cœur... et ce corps qui travaille dur, mais qui est plus beau que jamais", a-t-elle effectivement commenté ce mois ci toujours en relayant un autoportrait d'elle en body décolleté. Jennifer Lopez apprécie plus que jamais ce corps qu'elle sculpte encore régulièrement.
Surtout, elle revendique le "self love" face à l'âgisme...