Le 18 mai dernier, la justice condamnait le chanteur star des années 80 à un an de prison avec sursis pour avoir demandé à une jeune fille de moins de 15 ans de s'adonner à des jeux sexuels par webcam interposée. N'ayant jamais caché son attirance pour les filles, l'interprète de "Femme que j'aime" déclarait récemment recevoir de nombreuses photos nues de ses très jeunes fans féminines. Pendant que Jean-Luc Lahaye annonçait hier faire appel, la "victime" en question s'est exprimée pour la première fois dans les colonnes du magazine Closer.
Marie (son prénom a été modifié) âgée de 17 ans défend "l'homme qu'elle aime". "Je suis assez grande pour savoir si j'ai été corrompue ou non - ce que je n'ai jamais été. Par ailleurs, au sujet des 37 secondes de webcam incriminées, j'avais alors 16 ans. Or, la majorité sexuelle en France est à 15 ans. Je l'ai écrit dans mes lettres adressées au tribunal, dont on n'a pas tenu compte apparemment", déclare-t-elle à Closer. Selon la jeune femme, "l'amour n'a pas d'âge" et elle précise que "c'est sérieux" entre eux. Leur relation avait commencé sur les réseaux sociaux en 2013, Marie avoue avoir menti sur son âge pour séduire son idole. "Quelle femme amoureuse, quelque soit son âge, ne ferait pas tout pour le prouver à l'homme qu'elle aime ?" demande-t-elle.
Marie révèle également que ni elle ni ses parents "n'ont porté plainte contre Jean-Luc". Bien au contraire, l'homme serait très apprécié de sa famille. "Jean-Luc est quelqu'un de formidable, d'honnête, de sincère. Mes parents en sont eux-mêmes convaincus. Ils se sont rencontrés plusieurs fois et il est devenu un ami pour eux", argumente la fillette. Son témoignage corrobore ainsi les déclarations de Jean-Luc Lahaye pendant son procès ; il avait expliqué que sa "victime" avait "réellement envie" de lui et précisé que ses parents étaient "des gens formidables".