Le continent océanique a aussi le droit à ses jumeaux Bogdanov en version féminine, pourquoi n’y aurait-il que la France après tout ? Même si leur apparence laisse fortement à désirer, avouons-le, nos jumeaux boursouflés ont au moins le mérite d’être remarquablement intelligents... contrairement, a priori du moins, aux jumelles australiennes Lucy et Anna. Elles se sont confiées sur leur quotidien, face à la caméra de la chaîne australienne Channel 7.
Elles aiment la mode, le maquillage et tout ce qui touche à l’artifice de la beauté. Et pourtant, ces deux jumelles font bel et bien frémir. Leur objectif : ne faire plus qu’une. Et pour se faire elles ont eu la mauvaise idée d’avoir recours à la chirurgie dite esthétique. Certes, aujourd’hui elles se ressemblent plus qu’avant, mais ont un nouveau point commun : leur visage est surgonflé, comme s'il était victime d'une réaction allergique à une piqûre d’abeille. Comme si les distinguer n’était pas assez difficile, les deux jumelles en rajoutent une couche et travaillent ensemble dans un centre pour retraités. Cerise sur le gâteau, elles partagent le même homme, même au lit ! Elles déclarent à ce sujet : « Nous sommes ensemble quand nous faisons l'amour et si nous aimons le même homme, alors que ce soit ainsi. C'est toujours à deux ou rien ».
Les jeunes déclarent : « Nous avons commencé à grandir et peu à peu à ne plus nous ressembler ». Elles ont donc décidé de remédier à ce problème en ayant recours à diverses chirurgies ou soins. Si toutes les sommes astronomiques de leurs diverses dépenses (à savoir les implants mammaires, chirurgie faciale dont les lèvres et les joues, tatouages des sourcils, chirurgies dentaires, soin de peau, vêtements…) pour se ressembler sont additionnées, la facture s’élève à 240 800 $ soit à plus de 150 000€. Et lorsque le présentateur leur demande : « Que diriez-vous à de jeunes filles qui souhaitent avoir recours à la chirurgie ? » C’est presque en chœur que les jumelles répondent : « Si elles veulent le faire, qu’elle sont sûres de mieux vivre et aussi qu’elles pensent que cela va augmenter leur confiance en elles et bien qu’elles le fassent ! ».
Nour Khuja