Le premier trimestre 2011 a été particulièrement éprouvant pour la restauration rapide. En effet, fin janvier, un adolescent de 14 ans décédait des suites d’une intoxication alimentaire après avoir dîné dans un fast-food. Puis en mars, c’est une jeune fille de 16 ans qui a perdu la vie après un repas pris dans un kebab.
Aussi, pour redorer le blason de ce secteur d’activité, le syndicat national de la restauration rapide (Snarr) a annoncé qu’une étude scientifique d’analyses microbiologiques visant à déterminer la durée de vie des sandwichs était en cours. Celle-ci portera sur les casse-croûtes vendus en restauration (rapide ou non), boulangeries et autres sandwicheries mais ne concernera pas les sandwichs industriels dont l’emballage mentionne la date limite de consommation.
Plusieurs éléments déterminent la durée de vie d’un sandwich, parmi lesquels : le type de pain utilisé, la garniture, la température de conservation et le délai après préparation.
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