Ils sont pédants, stressants, nuls ou complètement cliché, bref ils sont insupportables. Voici les cinq candidats de Top Chef 2015 qu'on adore détester.
Florian, la "machine" de Top Chef 2015
La suite après la publicité
1. Jérémy, le mégalo sauce thaï
Jérémy Moscovici (aucun lien, il est fils unique) est tellement antipathique qu'il est presque hors-compétition. Dès le premier épisode, il snobait les conseils des chefs, mettait de la sauce soja dans le boeuf-carottes de Jean-François Piège (sacrilège) et faisait du bouillon thaï quel que soit le thème de l'épreuve. Bref, quand il est parti promener sous d'autres cieux son lourd passif " d'enfant surdoué " et ses influences asiatiques, tout le monde a été soulagé.
2. Florian, la "machine"
Il ne fait pas franchement des étincelles (un seul coup de coeur pour une recette entièrement réalisée par son papa venu cuisiner lors de l'épreuve en famille) et pourtant il est toujours là. Florian est toujours dans la bonne équipe et passe systématiquement à travers les mailles du filet éliminatoire mais rarement grâce à lui-même. Pourtant, il est très sûr de lui (" Je trouve que Philippe EStebeCHt a le même charisme que moi... "). Son problème : il se prend pour une machine de guerre, hurle " VAMOS ! VAMOS ! " quand il est stressé et dit Philippe EStebeCHt au lieu de Philippe Etchebest depuis deux mois.
3. Vanessa, la " maman "
Vanessa est rapidement devenue " la seule fille de la compétition ". Résultat, complètement sous pression, elle était toujours au bord de la crise de nerfs. Ses tics hyper crispants : s'encourager toute seule (un peu comme
Noémie Honiat), materner tous ses mâles concurrents, parler de sa fille toutes les trente secondes et mettre du fard à paupières blanc irisé.
4. Julien, l'étoilé grincheux
Éliminé après cinq semaines seulement, le seul chef étoilé de la promo a passé tout son temps de compétition à grommeler, à bouder bras croisés comme un gamin ou à toiser tout le monde avec une tête de six pieds de long. Il n'a aimé aucune épreuve ni aucun des ingrédients proposés et
a très mal vécu "Top Chef". Le mec plombant.
5. Olivier, le dandy gothique
Le dandy autoproclamé de cette saison a un peu forcé le trait en se fabriquant son personnage de cuisinier intellectuel qui lit Fréderic Nietzsche pendant ses heures creuses. Ses petites manies insupportables : regretter qu'on le juge sur son look alors qu'il ne parle que de ça et le cultive amoureusement, citer Jim Morrison quand il prépare une poire Belle-Hélène.