Vanessa paradis a offert au numéro de décembre du magazine Vogue de très belles couvertures qui ont fait le buzz. Tour à tour féline, mutine ou coquine (elle laisse sur l'une d'elles apparaître un bout de fesse), la chanteuse a posé pour David Sims, Inez & Vinoodh et Karim Sadli pour ce triptyque qui fera date et marque le grand retour médiatique de la muse de Karl Lagerfeld.
Dans une interview-fleuve, la maman de Lily-Rose s'est confiée sur sa carrière, sa vie de femme et de mère, son quotidien de Paris à Los Angeles, ses amours passées et actuelles mais aussi, de manière encore plus surprenante, sur son amitié avec le très controversé François-Marie Banier.
Accusé par la fille de la milliardaire Liliane Bettencourt d'avoir abusé de la faiblesse de sa mère en se faisant offrir de sompteux cadeaux et autres sommes d'argent, le dandy parisien, photographe et artiste, a plutôt mauvaise presse depuis que la famille Bettencourt se bat en justice contre le mystérieux confident. Pourtant, ce que peu de gens savent, c'est que ledit François-Marie Banier est aussi l'ami de nombreuses célébrités, et notamment du couple Depp-Paradis, qui l'a choisi comme parrain de Lily-Rose il y a seize ans, sans jamais briser ce lien d'amitié très fort. Ainsi Vanessa Paradis a-t-elle souhaité mettre une bonne fois pour toutes les choses à plat sur les liens qui l'unissent à François-Marie Banier et sa vision de l'"affaire"en déclarant : "C'est atroce, ce qu'on lui fait subir depuis huit ans. Je sais qu'il était très proche de Liliane Bettencourt. cette femme était dans sa vie et lui, dans la sienne. Je suis convaincue qu'elle a vu un fils en lui. Et j'imagine aisément qu'une femme aussi riche puisse faire des cadeaux à une personne qu'elle aime.", ajoutant cependant : "Même si ces cadeaux sont faramineux, ce qui peut choquer."
Pourtant, Vanessa, qui a rencontré Banier en 1997 sur le tournage d'Une chance sur deux, puis retrouvé l'année suivante grâce à Johnny Depp , ne lâchera pour rien au monde son grand ami et aimerait que l'acharnement médiatique dont il fait l'objet cesse. "Cet acharnement a assez duré, j'aimerais tellement que ça s'arrête pour qu'il puisse à nouveau vivre en paix, tranquille. François-Marie et son compagnon Martin, c'est la famille."
Qu'on se le tienne pour dit.