Fin janvier, la styliste Victoria Beckham a inauguré sa toute nouvelle collection de vêtements de sport, conçue avec la marque Reebok. Dans une interview récemment accordée au magazine Grazia, l'ex-Spice girl se livre aussi sur sa vie de maman.
"J'ai 44 ans, j'ai un troupeau d'enfants à la maison, j'accepte mon apparence et je profite au maximum de ce que j'ai. Je pense qu'en tant que femmes, nous devrions apprendre à accepter les compliments et à être aimables envers nous-mêmes et envers les autres", confie-t-elle à Grazia.
Un message qu'elle essaie précisément d'inculquer à sa fille Harper, 7 ans. "Je dis tout le temps à Harper qu'il ne s'agit pas de savoir qui est la plus jolie fille de la classe, qui est la plus intelligente de la classe, qui est la plus gentille fille de la classe. Et il s'agit de se sentir bien dans sa peau, de célébrer ça et de soutenir les autres femmes", explique-t-elle.
Une éducation placée sous des valeurs féministes qu'elle et son mari David Beckham appliquent également avec leurs garçons Roméo (16 ans) et Cruz (14 ans). "Cela a toujours été très important pour nous. C'est un ménage qui a toujours été très pro-féminin, même lorsque nous étions en infériorité numérique. Et maintenant qu'on a deux chiennes, on fait un peu la paix", plaisante la styliste.
L'engagement féministe de Victoria Beckham ne date pas d'hier. Le 8 mars 2018, date de la Journée internationale des droits des femmes, elle a expliqué que 75% des salarié·es de son entreprise sont des femmes, lors d'une interview avec la vice-présidente de Facebook Nicola Mendelsohn, diffusée en direct sur Facebook Live.
"La plupart des manager·euses senior sont des femmes, je ne les emploie pas parce que ce sont des femmes mais parce que ce sont les meilleures. J'aime les femmes. J'aime les entreprises de femmes !", a expliqué Victoria lors de cette entrevue.
En 2016, elle a salué l'initiative de l'ONG The Global Goals, qui s'est emparé du titre de l'emblématique titre des Spice Girls Wanabee, pour sortir un nouveau clip où l'on voit cinq jeunes femmes danser et chanter sur ce tube absolu de 1996.
L'initiative visait, à travers le hashtag #WhatIReallyReallyWant ("Ce que je veux vraiment) à s'engager dans la lutte pour les droits des femmes. Campagne que Victoria Bechkam a relayée sur Twitter, en tenant une pancarte sur laquelle était écrit : "#WhatIReallyReallyWant : que plus aucune fille ne meurt du VIH."