Face au duo de ténors Taylor et Brafman, la stratégie de la femme de chambre qui accuse DSK d’agression sexuelle s’étoffe et se concrétise elle aussi. Désormais la plaignante est défendue par Kenneth Thompson et son associé Douglas Wigdor, membres du cabinet Thompson Wigdor et Gilly, réputé pour la défense des petits face aux puissants, et pour sa capacité à obtenir des sommes d’argent colossales d’indemnisation pour les victimes.
Ainsi, en parallèle de la procédure pénale – la date du procès pourrait être fixée lors de l’audience du 18 juillet-, la victime présumée pourrait porter plainte au civil pour obtenir un dédommagement, à la hauteur des moyens de l’accusé… Selon le quotidien Libération, la somme pourrait se chiffrer en dizaines de millions de dollars dans le cadre d’une procédure civile.
La plaignante dispose d’un an à compter des faits présumés pour porter plainte au civil, mais ses avocats lui conseilleront sans doute d’attendre que le procès pénal soit bien avancé, pour ne pas entamer sa crédibilité en réclamant de l’argent.
(Source : Libération)
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