Des études Européennes tentent de prouver que nos chambres à coucher et celles de nos enfants , même les plus propres, exposent les gens qui y vivent et surtout y dorment à des « produits » nocifs.
Rien que la poussière produite par les revêtements de sols, les murs, les papiers, les peintures sont d’après l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments, vectrices de poussière qui pourraient affecter les voix respiratoires des occupants.
Il faut savoir que le taux légal autorisé est de 0,15Mg mais on réussit après analyse à en relever 3,5 Mg dans les chambres même qui paraissent propres. Les ONG ont tiré la sonnette d'alarme et Anne Sofie Anderson directrice du Chemsec déclare qu’une étude poussée et officielle devrait mettre en évidence l’interdiction de certains produits dont on ignore encore actuellement de leurs répercutions.
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