Car l’on y trouve des informations personnelles qui ne figurent pas sur les CV, près de 45% des recruteurs recherchent le profil Facebook de leurs futurs employés. Et près d'un tiers d'entre eux affirment même avoir déjà écarté des candidatures après avoir y trouvé des propos ou des photos indécents, selon ce même sondage Harris Interactive.
Pour éviter ce genre de dérives, le gouvernement allemand vient d’adopter une proposition de loi visant à interdire aux recruteurs d’utiliser des informations privées, glanées sur les réseaux sociaux, dans le processus de recrutement.
Les employeurs ne pourront consulter que les réseaux sociaux spécifiquement dédiés à la recherche d’emploi, tels LinkedIn ou Viadeo. En revanche, le projet n’interdirait pas à une entreprise de « googliser » le nom d’un futur employé.
Quand les recruteurs scrutent la toile