Valérie Trierweiler rencontre son avocate Me Frédérique Giffard en 2007. Elle est en plein divorce avec Denis Trierweiler, le père de ses trois enfants. Selon le journal le Figaro, « des liens de confiance et d’amitié se sont [alors] noués ». Depuis, Me Giffard assure un rôle de conseillère privilégiée auprès de l’ex-première dame. C’est elle qui étudie les poursuites judiciaires contre la parution du livre La Frondeuse. C’est elle encore qui attaque les magazines people: Closer, après avoir révélé la liaison entre François Hollande et Julie Gayet. Mais aussi tous ceux qui se sont fait l’écho d’une rumeur de violente scène de ménage qui aurait eu lieu dans le bureau du président de la République, et aurait causé de nombreux dommages matériels. Les magazines visés avançaient 3 millions d’euros de dégâts.
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La confiance que porte Valérie Trierweiler envers Frédérique Giffard est très grande, mais semble avoir aussi ses limites. L’avocate de la première dame en avait-elle conscience en accordant une interview au Figaro, jeudi 23 janvier, sans y avoir été autorisée par Valérie Trierweiler ? À la suite de l’interview, et après avoir été désavouée par sa cliente, elle s’est dite « trompée » par les journalistes du célèbre journal, sans donner plus de précisions. Dans cet entretien, elle donnait quelques éléments sur ce qui se passait à la résidence présidentielle de la Lanterne - en plein black-out médiatique. Elle a parlé « sans savoir et sans être mandatée » a par la suite déclaré Valérie Trierweiler. Et d’ajouter, laconiquement: « elle n’est plus mon conseil ».