Le 5 à 7 est mort, vive le 12 à 14 ? La pause déjeuner serait le moment privilégié par les personnes infidèles pour retrouver leur amant ou leur maîtresse. Las du jambon-beurre sur pain rassis, plus de la moitié des monogames non sectaires (51%) délaissent les terrasses pour les galipettes au moment du repas du midi, selon une étude* réalisée par le site de rencontres extra-conjugales, Gleeden.
La tromperie n'est donc plus majoritairement l'apanage des oiseaux de nuit. En effet, alors que 41% des sondés aimaient retrouver leur « partenaire de crime » en soirée, ils ne sont plus que 24% à attendre que le soleil se couche pour rejoindre la fréquentation avec laquelle aucun n'engagement contractuel n'a été signé.
En revanche, moins d'un infidèle sur dix opère dès potron-minet. En effet, seules 9% des personnes interrogées affirment tromper leur partenaire en matinée. Les virées extra-conjugales semblent s'effectuer majoritairement en semaine (72% des cas). Le week-end étant souvent consacré aux amis, à sa moitié (devenue un tiers, voire un quart pour les plus fougueux) ou aux visites dominicales chez beau-papa et belle-maman.
Une question demeure. Quel est le prétexte le plus utilisé par les infidèles pour aller vérifier si l'herbe est bien plus verte ailleurs ? « La salle de sport » arrive en pôle position. Pas moins de 68% des hommes infidèles interrogés ont déjà fait usage de cette excuse. Autre lien entre l'entraînement physique et l'infidélité : l'assiduité semble primordiale. Ainsi, plus de la moitié des femmes (52%) et 63% des hommes sondés souhaitent rejoindre leur conquête plusieurs fois par semaine.
*Sondage en ligne Gleeden.com mené du 8 au 16 septembre 2014 auprès de 1014 membres féminins et 1124 membres masculins (en France, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, et Royaume Uni)