Des chercheurs de l’Université du Missouri (USA) ont observé des groupes de souris : les actifs et les paresseux. En faisant se reproduire les cobayes au sein de chaque groupe, ils ont observé sur dix générations que le goût pour l’activité physique s’est transmis de génération en génération et vice versa pour les flemmards.
Ils ont ainsi identifié 36 gènes qui pourraient jouer un rôle sur la motivation à faire de l’exercice physique ! Il serait ainsi possible de savoir si une personne est génétiquement prédisposée à avoir des lacunes en sport ou au contraire à être un champion.
C’est aussi un moyen de savoir si une personne est plus ou moins encline au risque de surpoids et d’obésité fait remarquer Frank Booth, l’un des deux chercheurs responsables de cette étude.