La revue médicale Journal of Sexual Medicine a publié mercredi une étude concluant la découverte anatomique du point G. À l'origine de cette révélation, une dissection de la paroi intérieure du vagin sur le cadavre d'une femme de 83 ans réalisée par l’Institut de gynécologie de St. Peteresbourg en Floride. Cette opération confirme, selon les responsables de cette surprenante nouvelle, l’existence anatomique de cette zone érogène, et « pourrait conduire à une meilleure compréhension et à une amélioration de la fonction sexuelle des femmes ».
Le point G se présenterait sous la forme d’une cavité bien délimitée, se situant sur l’arrière de la membrane périnéale, à 16.5 mm de la partie supérieure de l’orifice de l’urètre. Par ailleurs, il serait formé de trois régions distinctes et mesurerait autour de 8 mm de longueur et de 3.6 mm à 1.5 mm de largueur. La hauteur serait de près de 0.5 mm.
L’éditeur de la revue médicale, Irwin Goldstein, a souligné l’importance de la recherche pour « la santé sexuelle des femmes ».
Alexandra Gil
(Sources : francesoir.fr)
Crédit photo : iStockphoto
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