« Ma séparation est une rupture, pas un licenciement. Il n'y a pas eu de préavis », a lâché Valérie Trierweiler, à quelques journalistes autour d'un café lors de son voyage en Inde, indiquent RTL et iTélé, mardi 28 janvier. Une réponse à la fois cinglante et ironique à la pique lancée par NKM. La candidate UMP à la mairie de Paris avait évoqué un « licenciement », de celle qui convient dorénavant d'appeler l'ex-première dame.
Un statut, remis en cause aujourd'hui, qui demeure important aux yeux de la journaliste. « Cela ne me dérange pas que l'on m'appelle ex-première dame, je l'ai été. C'est important qu'il y en ait une à l'Elysée », a-t-elle précisé. Quant à ses relations avec François Hollande : « Nous ne sommes pas en guerre, nous continuons de nous appeler », a-t-elle fait savoir.
L'accession de François Hollande à l'Elysée, le 15 mai 2012, pourrait être l'une des raisons de leur séparation, selon Valérie Trierweiler. « Je ne l'ai pas poussé à devenir président, je n'ai jamais rêvé d'entrer à l'Elysée ». Et de souhaiter rester loin des affres de la politique : « Je suis vaccinée, on ne mesure pas à quel point il y a de la trahison et de l'hypocrisie, on prend des coups sans l'avoir demandé, ce ne sont pas mes codes », a asséné celle qui pourrait revenir au journalisme ou s'engager dans l'humanitaire.
Un soutien à l'action d'Action contre la faim
D'engagement, il en est question en Inde pour l'ex-première dame. Un déplacement à titre privé pour soutenir l'action de l'ONG Action contre la faim à travers le pays.
Aux côtés d'@ACF_France en Inde pour lutter contre la malnutrition. Un enfant meurt de faim toutes les 30 secondes. pic.twitter.com/5UoC7rhiKA
— Valerie Trierweiler (@valtrier) 27 Janvier 2014