

Gwyneth Paltrow se met à nu pour Vanity Fair, mais les internautes ne font que citer Harvey Weinstein, "son père protecteur"


Gwyneth Paltrow est hyper glam pour Vanity Fair, mais les internautes ne font que citer Harvey Weinstein, "son père protecteur"

Gwyneth Paltrow est renvoyée à "l'ogre" Harvey Weinstein à l'occasion d'un portrait dans Vanity Fair. Les internautes renvoient la star et influenceuse lifestyle à son époque pré #MeToo... Alors que Vanity Fair rappelle que Gwyneth Paltrow a remporté l'Oscar pour Shakespeare in Love, les internautes s'échauffent, impitoyables... Et rappellent l'influence de "l'ogre d'Hollywood", Harvey Weinstein, sur ce sacre au sein de l'Académie.

Et oui, le couronnement global de Shakespeare in love, et de sa star Gwyneth Paltrow, est naturellement du à "l'influence" plus que démontrée du surpuissant producteur Harvey Weinstein, cocréateur avec son frère de la firme Miramax, sur l'Académie.

De Will Hunting à Gangs of New York en passant par Pulp Fiction, les productions Miramax ont à maintes reprises, par leur triomphe académique, suggéré le "forcing" du "mogul" quand il s'agit de faire triompher ses productions cinématographiques. Mais sur Instagram, c'est surtout sur Gwyneth Paltrow que les internautes s'acharnent !

"Elle a volé son Oscar !", "Ne me rappelez pas que ce film a triomphé aux Oscars s'il vous plaît", "Elle ne méritait pas sa statuette", "Cet Oscar, c'est Harvey Weinstein qui l'a volé pour elle", "C'est la pire actrice à l'avoir remporté", "Elle était juste protégée par Harvey Weinstein, c'est pour cela qu'elle a eu l'Oscar !"

Problématique quand on sait que la prise de parole de Gwyneth Paltrow à l'encontre de Harvey Weinstein en 2017, au moment des enquêtes déterminantes du New York Times et du New Yorker, fut tout simplement primordiale. Cela, on le comprend d'ailleurs en lisant le livre She Said, indispensable pour qui s'intéresse aux prémices de #MeToo - qui vont finalement engendrer la chute du producteur américain.

























