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Santé
Photos : "Je culpabilise" : Audrey Fleurot se livre sur la charge maternelle
Publié le 25 avril 2024 à 17:52
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"Je culpabilise" : Audrey Fleurot se livre sur la charge maternelle

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"Je culpabilise" : Audrey Fleurot se livre sur la charge maternelle 
Audrey Fleurot lors du photocall Jour 2 Serie Mania Festival international Lille 2024, à Lille, France, le 16 mars 2024. © Stéphane Vansteenkiste/Bestimage © BestImage, VANSTEENKISTE STEPHANE / BESTIMAGE

"Je culpabilise" : Audrey Fleurot se livre sur la charge maternelle Audrey Fleurot lors du photocall Jour 2 Serie Mania Festival international Lille 2024, à Lille, France, le 16 mars 2024. © Stéphane Vansteenkiste/Bestimage

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Pas toujours évident la vie de maman. Surtout quand on doit entremêler vie pro et vie perso, quitte à se taper burn out et culpabilité. C'est ce dont témoigne Audrey Fleurot !
© Christophe Clovis / Bestimage © BestImage, Christophe Clovis / Bestimage

Pas toujours évident la vie de maman. Surtout quand on doit entremêler vie pro et vie perso, quitte à se taper burn out et culpabilité. C'est ce dont témoigne Audrey Fleurot ! © Christophe Clovis / Bestimage

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Merveille parmi d'autres d'une société capitaliste : on va vanter avec ferveur la "détermination" et la "polyvalence" des mères actives professionnellement, que les férus de Linkedin surnomment les "working mums", sans forcément prendre en compte leur redoutable charge mentale... Et charge maternelle.
© Coadic Guirec/Bestimage © BestImage, COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Merveille parmi d'autres d'une société capitaliste : on va vanter avec ferveur la "détermination" et la "polyvalence" des mères actives professionnellement, que les férus de Linkedin surnomment les "working mums", sans forcément prendre en compte leur redoutable charge mentale... Et charge maternelle. © Coadic Guirec/Bestimage

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Car cela impliquerait de se pencher sur bien des inégalités de genre... Dans l'entreprise comme au sein de l'éducation et du quotidien. Et bien ailleurs. Cela, Audrey Fleurot le suggère dans Paris Match. La star rayonnante de la série HPI est mère d'un petit garçon de 7 ans. Et la conciliation vie pro/vie perso est un vrai défi.
© Coadic Guirec/Bestimage © BestImage, COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Car cela impliquerait de se pencher sur bien des inégalités de genre... Dans l'entreprise comme au sein de l'éducation et du quotidien. Et bien ailleurs. Cela, Audrey Fleurot le suggère dans Paris Match. La star rayonnante de la série HPI est mère d'un petit garçon de 7 ans. Et la conciliation vie pro/vie perso est un vrai défi. © Coadic Guirec/Bestimage

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"C'est rock'n'roll !"
© Denis Guignebourg/Bestimage © BestImage, Denis Guignebourg / Bestimage

"C'est rock'n'roll !" © Denis Guignebourg/Bestimage

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"De toute façon, en regardant autour de moi, je m'aperçois que la plupart des parents rentrent hyper tard, qu'ils ont une nounou matin et soir, font un bisou à leurs enfants au coucher et repartent au boulot le lendemain" 
Semi-exclusif - Audrey Fleurot - Dîner de charité Breitling à la Samaritaine pour l'association "Premiers de Cordée" à Paris le 4 avril 2024. L'association Premiers de Cordée propose des animations sportives auprès des enfants hospitalisés. ADN de l'association depuis sa création, ce programme comprend de nombreuses actions pour initier un maximum d'enfants malades et/ou en situation de handicap à la pratique sportive. © Rachid Bellak/Bestimage © BestImage, RACHID BELLAK / BESTIMAGE

"De toute façon, en regardant autour de moi, je m'aperçois que la plupart des parents rentrent hyper tard, qu'ils ont une nounou matin et soir, font un bisou à leurs enfants au coucher et repartent au boulot le lendemain" Semi-exclusif - Audrey Fleurot - Dîner de charité Breitling à la Samaritaine pour l'association "Premiers de Cordée" à Paris le 4 avril 2024. L'association Premiers de Cordée propose des animations sportives auprès des enfants hospitalisés. ADN de l'association depuis sa création, ce programme comprend de nombreuses actions pour initier un maximum d'enfants malades et/ou en situation de handicap à la pratique sportive. © Rachid Bellak/Bestimage

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Dans les pages de Paris Match, on la lit encore : "Quand je ne tourne pas à Paris, j'ai des phases de culpabilité, mais je rentre tous les week-ends et, quand je peux, je me débrouille pour emmener mon fils avec moi. Mon fils est fan de la série HPI et c'est assez joyeux. J'ai besoin de ces deux vies pour m'accomplir !".
Masterclass Audrey Fleurot lors du Serie Mania Festival international Lille 2024, à Lille, France, le 16 mars 2024. © Stéphane Vansteenkiste/Bestimage © BestImage, VANSTEENKISTE STEPHANE / BESTIMAGE

Dans les pages de Paris Match, on la lit encore : "Quand je ne tourne pas à Paris, j'ai des phases de culpabilité, mais je rentre tous les week-ends et, quand je peux, je me débrouille pour emmener mon fils avec moi. Mon fils est fan de la série HPI et c'est assez joyeux. J'ai besoin de ces deux vies pour m'accomplir !". Masterclass Audrey Fleurot lors du Serie Mania Festival international Lille 2024, à Lille, France, le 16 mars 2024. © Stéphane Vansteenkiste/Bestimage

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"Mais ça se passe très bien !", nous rassure cependant la star. Qu'elle se console, elles sont nombreuses aujourd'hui, les personnalités médiatiques, à témoigner de ce vrai cheval de bataille...  
© Denis Guignebourg/BestImage © BestImage, Denis Guignebourg / Bestimage

"Mais ça se passe très bien !", nous rassure cependant la star. Qu'elle se console, elles sont nombreuses aujourd'hui, les personnalités médiatiques, à témoigner de ce vrai cheval de bataille... © Denis Guignebourg/BestImage

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Spontanément, on pense illico aux mots bien plus caustiques et joliment décomplexés de Lou Doillon, comédienne et chanteuse. "J'ai deux gnomes : un grand et un tout-petit et je souhaite qu'ils apprennent ce que c'est qu'être une femme qui veut être là, qui veut les aimer mais qui a sérieusement plein d'autres choses à faire ailleurs", avait-elle confiée.
© Christophe Clovis / Bestimage © BestImage, Christophe Clovis / Bestimage

Spontanément, on pense illico aux mots bien plus caustiques et joliment décomplexés de Lou Doillon, comédienne et chanteuse. "J'ai deux gnomes : un grand et un tout-petit et je souhaite qu'ils apprennent ce que c'est qu'être une femme qui veut être là, qui veut les aimer mais qui a sérieusement plein d'autres choses à faire ailleurs", avait-elle confiée. © Christophe Clovis / Bestimage

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On appréciera le franc parler de l'artiste. Dans un autre genre, Ophélie Meunier, l'animatrice et rédactrice en cheffe de l'émission Zone interdite, et mère de deux enfants, avait relaté : "J'ai les mêmes interrogations, les mêmes moments de culpabilité, les mêmes coups de fatigue que tout le monde. Mon bonheur, c'est de voir mes enfants. Avant tout". 
Audrey Fleurot - Photocall du défilé Messika Haute Joaillerie 2023 au Pavillon Cambon à Paris le 28 septembre 2023. © Jack Tribeca / Tiziano Da Silva / Bestimage © BestImage, Jack Tribeca / Tiziano Da Silva / Bestimage

On appréciera le franc parler de l'artiste. Dans un autre genre, Ophélie Meunier, l'animatrice et rédactrice en cheffe de l'émission Zone interdite, et mère de deux enfants, avait relaté : "J'ai les mêmes interrogations, les mêmes moments de culpabilité, les mêmes coups de fatigue que tout le monde. Mon bonheur, c'est de voir mes enfants. Avant tout". Audrey Fleurot - Photocall du défilé Messika Haute Joaillerie 2023 au Pavillon Cambon à Paris le 28 septembre 2023. © Jack Tribeca / Tiziano Da Silva / Bestimage

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