En pleine promotion pour son nouveau film Les rayures du zèbre, l’acteur Benoît Poelvoorde a accordé une interview au Parisien dans laquelle il s’est exprimé sur l’affaire Hollande-Trierweiler-Gayet. Et dans cette histoire, la compassion du tueur lyrique de C’est arrivé près de chez vous va aux deux parties. « Oui je la connais, je l’ai croisée une ou deux fois », a-t-il déclaré à propos de Julie Gayet. « Je l’ai rencontrée dans les festivals… Une fois elle m’a sauvé. Elle était très gentille parce qu’elle s’était inquiétée, je m’étais endormi dans une soirée et elle me dit : "Est-ce que tout va bien ?" » « Je lui ai dit "Oui tout va bien" mais c’est vrai que j’étais un peu entamé », concède l’acteur en tirant sur sa cigarette. « C’est le souvenir que j’ai de Julie Gayet »
Et lorsque le journaliste lui demande ce qu’il a pensé des révélations du magazine Closer, Poelvoorde hausse les épaules, patauge, et finit par dire qu’il s’en fout. « J’ai de la peine pour la fille qui se fait larguer, je m’inquiète pour Julie Gayet… que ça ne nuise pas à sa carrière. Parce que c’est très injuste, j’entends déjà des gens qui murmurent "Elle est nommée aux César parce que…" C’est pas vrai ! Faut pas déconner ! La pauvre, à chaque fois qu’elle va faire quelque chose, on va dire woh woh complot ! Et pour le président je me dis : "bah mon cochon, dis donc on te voyait pas arriver toi". » Bref aux femmes la compassion, à l’homme l’admiration.
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