Résumé des épisodes précédents : le 21 décembre 2024, Blake Lively a porté plainte contre Justin Baldoni. L'actrice accuse son partenaire à l'écran dans le controversé "It Ends With Us" (Jamais plus), qui est également le metteur en scène de cette romance, de harcèlement sexuel. Mais aussi, dépôt de plainte de 80 pages à l'appui, d'avoir orchestré une campagne de dénigrement contre elle, dans le but de susciter un acharnement médiatique et du cyber harcèlement sur les réseaux sociaux. Tout cela est résumé dans une enquête du New York Times, enquête que nous vous détaillons ici.
A tout cela, entre deux saillies véhémentes de son avocat, le mis en cause, Justin Baldoni, a rétorqué par la diffusion d'une vidéo d'une durée de dix minutes du tournage, des "rushes", afin de contrer les allégations de harcèlement sexuel., à son encontre, en démontrant le consentement de Blake Lively. Une vidéo qui dévoile l'intimité entre deux personnages (lors d'une scène de danse) et surtout prouverait la bonne entente entre les deux partenaires sur le plateau. Sauf que ces images elles aussi clivent énormément. On vous raconte pourquoi ici.
Et aujourd'hui, c'est un autre chapitre qui s'ouvre, bien plus officieux celui-ci, sur les réseaux sociaux, à travers une nouvelle théorie très prisée des fans : et si Ryan Reynolds, le conjoint de Blake Lively dans la vraie vie, était à l'origine de toute cette affaire ? Et si l'acteur, producteur, homme d'affaires et superstar de Deadpool avait tout manigancé ?
Une hypothèse folle...
Ryan Reynolds responsable de toute cette affaire ?
Alors que les fans accusent tantôt Blake Lively de mentir, sur l'attitude de Justin Baldoni, sur ses allégations de harcèlement sexuel, ou à l'inverse, Justin Baldoni d'alimenter une entière campagne visant à briser la réputation de Blake Lively, en ayant fait appel à des experts de la communication, d'autres s'attardent sur un nom encore plus médiatique, celui de Ryan Reynolds.
Ryan Reynolds a été très présent durant la promo de Jamais plus. Il a même dégainé comme à son habitude quelques blagues, pas hyper pertinentes peut être dans le cadre d'un film qui parle ouvertement des violences conjugales. Ce qui a notamment donné lieu à cette séquence médiatique très gênante qu'on vous relate ici.
Mais le business man et producteur à succès ne se serait pas arrêté là.
Candace Owens, commentatrice américaine pourvoyeuse de théories diverses, explique pourquoi.
L'influenceuse explique effectivement avoir reçu "un tuyau de quelqu’un" qui aurait travaillé sur le tournage de It Ends With Us et affirme que les assistants de production auraient entendu "Ryan et Blake" se disputer dans la caravane de l'actrice, à cause des tensions suscitées sur le tournage par sa proximité avec Justin Baldoni. Ryan Reynolds aurait tout simplement été jaloux, possessif, et soucieux de mettre un terme à la relation professionnelle entre son épouse et son partenaire à l'écran. Reynolds et Lively auraient dès lors été en pleine agitation pré-rupture.
La source a également affirmé que c'est Ryan Reynolds qui aurait contacté l’agence artistique WME afin de "rayer de la liste" Justin Baldoni, profitant de son influence de star, d'hommes d'affaires et surtout, de producteur. Et Candace Owens d'affirmer dans le plus grand des calmes : "Dernièrement, tout le monde critique Blake Lively, mais apparemment, le vrai méchant de cette saga est… Ryan Reynolds... Je pense que Blake était d’accord avec tout ce qui se passait dans le film pour lequel elle avait signé, et que tout cela a changé le jour où son mari s’est présenté sur le plateau et aurait pété les plombs".
D'une manière ou d'une autre, c'est généralement l'influence capitale de Ryan Reynolds, jusqu'à son "inscrustation" sur le plateau, et durant la promo du film, qui est pointée du doigt. Les fans s'interrogent sur l'implication réelle de Ryan Reynolds sur ce film... Et sur cette "affaire".
Des suppositions qui font énormément réagir.
Rappelons cependant que Candace Owens n'est pas étrangère aux fake news et aux théories du complot. Théories dont certaines embrassent carrément la transphobie la plus décomplexée. On associe également la commentatrice à l'extrême droite et à la fachosphère. Ces allégations doivent donc être envisagées avec d'énormes pincettes.