L’histoire, rapportée il y a quelques jours par le Miami Herald, commence pourtant bien… : un Américain de 69 ans nommé David Snay est injustement licencié par son employeur, la Gulliver Preparatory School. Après un procès, il parvient à obtenir 80 000 dollars (soit près de 58 000 euros) de dommages et intérêts de la part de l’établissement. Seule condition pour que l’indemnité soit valide : l'accord doit rester confidentiel.
David Snay ne souffle donc pas un mot de sa petite prime de départ… mais ne pense pas à demander à sa fille Dana de rester discrète. La jeune fille a cru bon de poster sur son profil Facebook une phrase vengeresse et triomphante : « Mama and Papa Snay won the case against Gulliver. Gulliver is now official paying for my vacation to Europe this summer. SUCK IT ». Traduisez : « Maman et Papa Snay ont gagné contre Gulliver. Gulliver paie donc officiellement mes vacances en Europe cet été. Prenez ça. » (pour être poli ndlr.), ont pu lire ses 1 200 amis Facebook. Hélas, parmi ses « amis » figuraient des élèves de la Gulliver, qui se sont empressés de faire remonter l’information jusqu’aux avocats de l’école.
Adieu veau, vache, vacances en Europe…
>> Ce qu'il ne faut surtout pas faire sur Facebook <<