

L’existence du virus Flame remonte à quatre ans mais sa découverte ne date que de fin mai. Lundi dernier, d’après la société informatique Symantec, le virus pourrait avoir disparu d’ici peu de temps.
Détecté par le fabricant russe d’anti-virus Kapersky Lab qui avait remarqué que la sophistication du virus Flame était utilisée à des fins de « cyber-espionnage », mais aussi pour dérober des documents liés au programme nucléaire iranien.
Le virus a été observé dans différentes régions du monde, telles que le Moyen-Orient, l’Europe, L’Amérique du Nord et l’Asie-Pacifique, l’Iran fût le premier pays victime de ces attaques. Suite à cette déclaration, le ministre israélien des Affaires stratégiques, Moshé Yaalon avait expliqué le recours à de tels moyens afin de s’opposer à la menace nucléaire iranienne.