

Toujours adorable dans Maison à vendre ou dans Recherche appartement ou maison, Stéphane Plaza cache pourtant un passé douloureux. Alors qu'hier, il partageait sa bonne humeur avec Karine Lemarchand dans Qu'est-ce que je sais vraiment ?, l'animateur le plus sympa du PAF s'est fait plus grave cette semaine dans l'interview qu'il a accordé à Paris Match.
En effet, avant de donner des conseils immobiliers sur M6, Stéphane Plaza a dû faire face à un terrible accident, qui l'a longtemps privé de l'usage de ses jambes. « Je fais une chute de plus de deux mètres, brisant mes deux talons, raconte-t-il au magazine. Un imbécile accident domestique ! Je comprends très vite que je ne peux plus utiliser mes jambes. Subitement, tout mon univers s'effondre. »
« Coupé du monde », incapable de marcher, Stéphane Plaza a dû être opéré une première fois et est contraint de se déplacer en fauteuil roulant. « Le médecin pense que je ne pourrai plus jamais remarcher, confie-t-il. Je ne me reconnais plus du tout. Je ne peux rien faire par moi-même, même pas ma toilette. Une horreur lorsque l'on connaît ma pudeur et ma timidité ! »
Aujourd'hui, heureusement, Stéphane Plaza a récupéré pleinement l'usage de ses jambes. Mais la rééducation a été longue. Visiblement marqué à jamais par cette expérience traumatisante, l'animateur poursuit : « En huit ans, je subis huit opérations. Au terme d'une longue rééducation, je suis à nouveau sur mes jambes [...] Je boîte encore. Je dois retourner à Capbreton pour subir mes dernières opérations et poursuivre la rééducation. » Ce qui n'empêche pas l'animateur de garder le sourire et de faire de l'humour : « Elle [Karine Lemarchand, ndlr] court comme une gazelle, tourne autour de moi, parle en même temps... Et moi, je souffre en silence ! », conclut-il malicieusement.