“C’est mieux je pense”, inquiet pour le vagin de sa compagne, les propos de cette star télé sur la césarienne font polémique
“C’est mieux je pense”, inquiet pour le vagin de sa compagne, les propos de cette star télé sur la césarienne font polémique
Invité il y a quelques jours avec sa compagne, Cassandra Jullia dans la Hotline de l’influenceuse Laura Lempika, Simon Castaldi s'est exprimé de manière polémique au sujet de la césarienne. Dans ce concept où l’hôtesse et ses invités conseillent les internautes sur leurs problèmes, le fils de Benjamin Castaldi en a profité pour faire part d’une grande inquiétude, un sujet qu’il qualifie même de “peur”.
“Quand tu accouches, le vagin se dilate beaucoup ?”, a-t-il demandé à Laura Lempika, maman d’un petit garçon. Une question à laquelle la créatrice de contenus n’a pas pu totalement répondre, précisant qu’elle n’a “pas accouché par voies basses”. Cassandra Jullia, qui avait d'ailleurs fait polémique fin 2024 pour ses propos sur le racisme anti-blondes dont on vous parle ici, explique alors : “Il a trop peur que mon vagin devienne tout moche”. Et à Simon Castaldi de répondre : “Non pas tout moche, c’est pas le problème, parce que je ne regarde pas au pire”.
Ce qui semble réellement tracasser - voire effrayer - cette star de télé réalité est en réalité que le vagin de sa compagne soit “distendu” après l’accouchement et qu’il le reste. Parce que, oui, il ne faudrait tout de même pas que le traumatisme subi par le corps de sa partenaire pour donner la vie vienne entraver son plaisir.
Simon Castaldi va même jusqu’à dire que la césarienne : “c’est mieux je pense”. Si, évidemment, il est en droit d’avoir un avis sur la question, cela pose problème quand cet avis n’est pas éclairé par des connaissances sur les traumatismes que peuvent connaître les femmes après un accouchement par césarienne. Et encore plus quand sa décision est simplement basée sur son petit confort personnel, sans penser à celui de sa partenaire. Une remarque que Cassandra Jullia lui fait d’ailleurs : “Et si moi je ne veux pas ?”.