Maman à 43 ans, Eve Angeli ne cache rien de ses coups de blues (et de boost !) sur Instagram, où elle a pour habitude de s'épancher auprès de ses nombreux followers. L'occasion d'aborder son expérience bien à elle de la maternité, qui s'apparente bien volontiers... A un ascenseur émotionnel.
Elle l'a encore démontrée d'ailleurs dans son dernier post en date. Une publi très intime où elle tient à rassurer ses fans : sa vie de maman se passe bien, pour elle et l'enfant. Mais elle nuance cependant : "Alors oui j'avoue que les nuits sont agitées et que je rêve que ma perle d'amour fasse enfin ses nuits...". Une fatigue qui n'a pas manqué de faire réagir : bien des mères de famille s'identifient à ce que vit la chanteuse...
"Allez Ève courage! On y croit!", "Ho la risette !", "Quelle bouille de rêve cette petite. Félicitations !", "Te voilà dans le clan des daronnes", peut-on lire.
Sur Instagram, Eve Angeli modère néanmoins ce témoignage doux amer : "...Mais que c'est doux de partager tous ces câlins avec elle. Alors je m'arme de patience et je me remplis de tout son amour !"
La chanteuse et ancienne star de télé réalité était déjà revenue en détails sur sa grossesse l'an dernier, précisant : "Pas de nausées, pas de suivi particulier, comme quoi, la nature est parfois bien faite, même à 43 ans... Que dire sinon que j'ai vécu cette parenthèse enchantée comme un cadeau de la vie".
"Je suis comblée de t'avoir portée en moi comme autant d'amour qui a grandi de jour en jour. Oui c'est de l'or que tu mets dans mon corps ma choupette de déjà 3kg de bonheur !", déclarait-elle alors à son enfant. Emouvant.
Des mamans quadragénaires et célèbres : voilà une situation qui engendre peu de témoignages. Même si on se rappelle des mots tout aussi sincères de Virginie Efira, qui a donné naissance à son deuxième enfant en août dernier.... A l'âge de 46 ans.
Elle avait déclaré : "Je me souviens qu'à la naissance de ma fille, il y a dix ans, je voulais suivre toutes les injonctions : être une mère parfaite, totalement disponible, et en même temps prendre soin de moi, de ma vie de femme, ne rien lâcher au travail, sortir avec des amis car il n'était pas question d'arrêter de faire la fête..."
"Avant de devenir mère, je menais une vie sur ce principe-là : je pensais qu'il fallait que je sois partout pour ne rien rater. Ma fille m'a appris que c'est à l'endroit où l'on se trouve qu'il faut essayer de faire quelque chose".
"Il y a la redécouverte de l'immédiateté de l'amour, la fascination du bébé – les nouveau-nés possèdent ce regard métaphysique, comme les vieux qui ont tout compris de l'existence. Et puis, c'est partagé avec son père. Même si je n'ai pas envie de m'épancher sur le sujet, c'est très partagé".