Bruno Sulak s'engage dans la légion étrangère en 1975 à 20 ans. Engagé à Djibouti dans le 2ème REP il bat le record du monde de chute libre. Sa vie de citoyen modèle s'arrête là. Ne pouvant pas avoir l'homologation de ce record sans s'engager dans la légion pour 5 années supplémentaires, il se révolte et rentre chez lui. Considéré comme déserteur, il est interpellé en 1979, mais les gendarmes venus le chercher vont découvrir dans le coffre de sa voiture une grande quantité de billets de banque et de chèques. Alors incarcéré, il s'évade le 24 juin 1980 de la prison d'Albi en sciant les barreaux. En 1983, avec l'aide de complices il dévalise deux bijouteries des Champs Elysées.
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Devenu l'ennemi public numéro 1 pour la police, et un charmant Arsène Lupin pour la presse, il réalise le casse du siècle en 1983 dans la bijouterie Cartier de Cannes déguisé en tennisman. Cette fois, il n'échappe pas à la police et retourne en prison. A nouveau, il décide de s'évader en soudoyant un surveillant et le directeur adjoint de la prison de Fleury Merogis, mais il se blesse mortellement.
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