En novembre 2008, le corps de Patrick Constantien, jardinier municipal d'Amnéville, est retrouvé dans son salon, le crâne fracassé et la gorge tranchée. Très vite les soupçons des enquêteurs se portent sur son épouse, Christine, étant donné le caractère très personnel du meurtre. Par ailleurs, Christine Constantien s'embourbe dans ses mensonges concernant son emploi du temps. Les gendarmes découvrent qu'elle entretient une liaison secrète par SMS, mais elle est aussi très endettée. L'assurance décès de son mari paraît être le meilleur des mobiles.
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Si l'accusé nie totalement les faits, elle est victime de ses mensonges et ses contradictions sur les évènements. Elle est condamnée à 25 ans de réclusion criminelle en première instance. Pourtant l'année dernière, coup de théâtre, Christine Constantien est acquittée en appel par la Cour d'assises de Meurthe-et-Moselle, faute de preuves, après un procès où il est apparue métamorphosée, jouant la carte du relooking physique pour être plus crédible. A ce jour, le meurtre de son mari reste un mystère.