Si la musique est fréquemment mise en avant pour ses nombreuses vertus sur notre santé, ce n'est pas forcément toujours le cas, comme le révèle une étude britannique récemment publiée. Selon cette étude, la musique était régulièrement utilisée sous le régime du dictateur chilien Pinochet, notamment lors des interrogatoires afin de briser les prisonniers. Il faut dire qu'écouter en boucle le même titre à plein volume est loin d'être agréable.
Parmi les titres cités pour avoir été utilisé comme des instruments de torture, on trouve Gigi l'Amoroso de Dalida, My Sweet Lord de George Harrison, ou encore plusieurs chansons du crooner Julio Iglesias ! Des choix qui peuvent sembler un peu surprenants.
Mais si la musique était bien utilisée comme un moyen de torture sous Pinochet, les prisonniers expliquent aussi qu'elle a été une aide précieuse à certains moments et qu'elle permettait même des rapprochements entre eux.