Dans "Premier bilan après l'apocalypse", Frédéric Beigbeder dresse le portrait de ses auteurs préférés. Déjà, en 2002, il avait fait état d’auteurs qu’il admirait énormément dans le livre "Dernier inventaire avant liquidation".
Selon lui : "Choisir 100 livres qu'on aime, c'est se définir". Dans son top 100, on retrouve des auteurs de sa génération comme Amélie Nothomb ou Michel Houellebecq. Il les definit comme "une bande d'écrivains français nés de ce bazar planétaire nommé mondialisation (…)"
Quoiqu’il en soit, dans son trio de tête, ce ne sont pas des inconnus qui sont présents, mais des auteurs à l’image de Bret Easton Ellis avec « Américan psycho », Paul Nizon avec « L’année de l’amour » et « Paludes » d’André Gide.
Beigbeger se veut être aussi le defenseur du livre, de la bonne odeur du papier. Un livre est magnifique ce qui n’est pas le cas de tous ces livres numériques qui se substituent de plus en plus.
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