"Devoir garder le silence sur ses violences !" : Angelina Jolie accuse de nouveau Brad Pitt
"Devoir garder le silence sur ses violences" : Angelina Jolie accuse Brad Pitt
On sait qu'Angelina Jolie accuse Brad Pitt de violences conjugales. La star est revenue sur son attitude présumée et sur le silence qu'aurait exigé le comédien.
Vous avez sûrement eu vent de "l'affaire Pitt/Jolie" depuis 2022. De quoi vous dégoûter du fantasme "Brangelina", cette idéalisation totale du couple Brad Pitt/Angelina Jolie.
Mais la vérité concernant la séparation des deux stars hollywoodiennes semble bien moins idyllique. Angelina Jolie accuse Brad Pitt de violences conjugales. Ces violences auraient pris place lors d'un vol privé en 2016. Des témoins ? Oui, leurs enfants.
Or, aujourd'hui, d'autres éléments sont à prendre en compte, relate Le Parisien. Effectivement, Angelina Jolie a déposé le 5 avril dernier une nouvelle requête judiciaire auprès de la cour supérieure de Los Angeles. Que nous apprend cette requête ? C'est simple : elle affirme que Brad Pitt aurait été violent... Avant 2016.
"Les abus physiques de Pitt envers Jolie ont commencé bien avant le voyage en avion de la famille de la France à Los Angeles en septembre 2016", relate ce document, comme le rapportent nos confrères de Purepeople. "Cependant ce vol marquait la première fois qu'il se tournait également vers les enfants. Jolie l'a ensuite immédiatement quitté".
Cette nouvelle requête judiciaire nous apprend également que Brad Pitt aurait fait signer à l'actrice une clause de confidentialité concernant ces violences conjugales.
Selon Le Parisien, Brad Pitt aurait tout simplement "tenté de la faire taire", avant la médiatisation de cette affaire en 2022. Il faut cependant préciser une chose...
Les détails sont effectivement beaucoup plus pernicieux : c'est lors de la signature d'un autre contrat sans rapport aucun, souhaité par Angelina Jolie, statuant de sa vente d'une part du domaine viticole qui leur appartient tous les deux (600 hectares), que Brad Pitt, en retour, aurait exigé la signature de ladite clause !
Un "feuilleton" judiciaire particulièrement glaçant donc.