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Depuis hier, un vent de folie s’est emparé des réseaux sociaux avec l’affaire du « Trierweilergate ». C’est suite à un message de Valérie Trierweiler sur le célèbre réseau social que tout s’est emballé pour elle. Indiquant sans hésitation et avec un brin de provocation son soutien au candidat dissident PS Olivier Falorni qui se présente aux législatives face à Ségolène Royal, la première Dame a tout de suite provoqué les foudres de nombreuses personnes aussi bien anonymes que dans les médias ou du monde politique. Chacun hésitant sur les raisons d’un tel message : jalousie, erreur, maladresse ou provocation ?
Si l’on en croit Le Parisien, François Hollande n’était en tout cas pas derrière cette histoire et aurait très mal pris ce message de soutien. Homme discret, le président de la République n’aime pas ce genre d’étalage public et s’est dit « sous le choc ».
« Le président de la République était très énervé, a confirmé un de ses intimes au quotidien. Il l’a très mal pris. C’est un homme pudique. Elle a dépassé les bornes. Cela risque d’écorner son image. »
Afin d’éclaircir un peu les choses, Valérie Trierweiler s’est confiée à Alba Ventura au sujet de ce message sur Twitter. Lors de cet entretien, elle a expliqué qu’il était totalement « idiot de parler de jalousie dans cette affaire ». Chacun se fera évidemment sa propre opinion à ce sujet.
Ci-dessous, vous pouvez visionner le compte-rendu de son entretien avec Valérie Trierweiler par Alba Ventura sur RTL.