
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C’est à la police des polices (IGS) qu’elle s’adressera directement, ce lundi 14 novembre suite à sa plainte déposée le 20 octobre dernier.
"Une procédure normale qui intervient après le dépôt d’une plainte contre X par la journaliste de « Paris Match » et de « Direct 8 » à la suite des affirmations de « l’Express » indiquant qu’une enquête sur elle avait été ouverte par la direction du renseignement de la préfecture de police de Paris. Selon l’hebdomadaire, il s’agissait alors de constituer une « notice biographique fouillée » et de trouver des éléments de nature à être utilisés contre le candidat PS à la présidentielle" rapporte le Parisien.
Son avocate, Me Frédérique Giffard, la soutient dans cette procédure engagée après que l’Express a fait état d’une enquête policière au sujet de la journaliste politique. Le journal avait affirmé qu’il avait « reçu l’ordre » d’enquêter sur Valérie Trierweiler.
Claude Guéant, visé, avait par la suite nié en poursuivant le journal pour « diffamation et diffusion de fausses nouvelles », puisque l’enquête visait à ramasser des indices contre Hollande dans sa marche vers les présidentielles.
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